Floréac et MPS unissent leurs forces sur le marché belge !

Tout d’abord, Floréac, encore plus qu’avant, veut jouer un rôle de premier plan. Pourquoi en particulier maintenant ? Parce que le secteur est à un moment charnière. La certification devient de plus en plus la règle plutôt qu’une ligne directrice. Et sur ce plan, nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir. Mais c’est possible. Il suffit de regarder les Pays-Bas. Là-bas, la culture des plantes ornementales est aujourd’hui proche de 90% de production et de commerce responsables. Nous devons nous aussi aller dans cette direction. 

« Nous voulons amener les producteurs belges à combler l’écart avec les Pays-Bas. En effet, nous envisageons un avenir solide pour la floriculture à partir de Floréac. Nous voulons guider nos cultivateurs dans cette voie de la meilleure façon possible », a déclaré Pieter Van De Velde, responsable des achats chez Floréac.

C’est pourquoi Floréac s’associe à MPS. Pourquoi est-ce une bonne nouvelle pour l’ensemble du secteur belge de la floriculture ? Parce qu’à partir de maintenant, nous pouvons compter sur deux représentants en Belgique : Bart Kersschot et Catarina Tojal. Forts de leur expérience, ils vous guideront, en tant que cultivateur, tout au long du processus de certification

Tout le monde à bord pour une production et un commerce responsables à 90%

L’un des cinq piliers de notre stratégie pour les années à venir est un monde meilleur. Un terme qui recouvre de nombreuses cargaisons et inclut de nombreuses initiatives. Comme notre l’adhésion à la FSI2025. Dans le cadre de cette adhésion, nous nous engageons dans trois domaines :

FSI2025_three pillars – responsible production & trade, responsible conduct and integrated reporting
FSI2025_three pillars – responsible production & trade, responsible conduct and integrated reporting

90% de production et de commerce responsables. Minimum, c’est là que se situe la barre pour nous à partir de maintenant. Pour que tout soit mesurable et vérifiable, le scan sourcing durable a développé un instrument de mesure qui regroupe un certain nombre de certificats. Cet instrument de mesure deviendra notre boussole pour le choix de nos fournisseurs à l’avenir. Pour atteindre cet objectif, la collaboration avec MPS pour guider les producteurs dans le processus de certification est indispensable

Pourquoi cette certification environnementale est-elle si importante pour nous et pour vous en tant que cultivateur ?

  • ⎫ Une certification suffisante deviendra à l’avenir un permis de vente, ; voir également notre dernier magazine . La certification n’est plus un choix ou un trophée sur le mur. Elle deviendra une condition pour vendre vos plantes à certains clients.
  • ⎫ Dans un processus de certification, vous apprenez à connaître votre propre entreprise. Nous aussi, nous en faisons encore l’expérience chaque année pendant la préparation des audits et l’audit lui-même.
  • ⎫ Les détaillants prennent souvent leurs décisions du jour au lendemain. Nous, en tant que détaillants, et vous, en tant que cultivateurs, n’avons pas le temps de répondre à cette demande. Soyez donc prêts.
  • ⎫ En tant que secteur, nous sommes régulièrement sous le feu des critiques : azote, consommation d’énergie, utilisation de l’eau, produits chimiques, tourbe, etc. Il reste nécessaire d’investir dans une perception positive. Plus que jamais, nous devons prendre des mesures pour un avenir plus durable.
  • ⎫ La certification exige un fonctionnement davantage axé sur les données (« data-driven »). Le travail guidé par les données est la voie de l’avenir.

En bref, nous n’avons pas d’autre choix

« Oui mais, nous étions certifiés, et personne n’a demandé. D’ailleurs, quand on en arrivait là, on choisissait toujours le moins cher. » 

Cette ligne d’argumentation ne tient plus. À partir d’aujourd’hui, nous sommes très clairs sur ce point. Nous voulons atteindre les 90 % d’achats durables et nous baserons également notre sélection de fournisseurs sur ce principe à l’avenir. 

Un avenir solide pour la floriculture belge

Avec Bart Kersschot et Catarina Tojal, nous relevons le défi de faire progresser la culture des plantes ornementales en Belgique et nous visons les 90 % d’ici 2025. Nous espérons que vous serez nombreux à nous suivre dans cette démarche. Peu importe que vous fassiez beaucoup ou peu d’affaires avec Floréac. Nous sommes convaincus que c’est important pour tout le monde.

Et ce n’est qu’un début. À l’avenir, nous mettrons tout en œuvre pour faire avancer l’horticulture ornementale belge. Avancer ensemble.

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